Une culture écologique

La culture du miscanthus ne nécessite aucun intrant phytosanitaire à partir de son implantation.

Elle joue un rôle tampon contre les pollutions diffuses le long des cours d’eau et vient créer des zones de dilution sur les périmètres de captage d’eau.

Biodiversité

Cultivée sans produit phytosanitaire, la culture du miscanthus permet le développement d’une faune auxiliaire abondante (araignées, lombrics, carabes,... ).

Les parcelles sont recolonisées par une petite faune sauvage (perdrix, faisans), bio-indicateurs qui confirment l’établissement d’écosystèmes vertueux.

Une filière locale

Le miscanthus est implanté chez des agriculteurs du territoire. Cette culture leur apporte une diversification et sécurise l’approvisionnement des chaufferies locales.

Le miscanthus biomasse énergie est implanté là où est identifié le besoin. La mise en place de la culture et la montée en production sont rapides, ce qui permet de répondre aux besoins des chaudières biomasse avec un combustible de qualité, dédié au projet, sans concurrence d’usage, en circuit ultra court.

NORD CHALEUR développe des partenariats avec des agriculteurs de votre territoire, pour privilégier une filière locale.

Les atouts énergétiques du miscanthus

Avec un rendement de 15 à 20 tonnes / ha / an dès la maturation atteinte en 3-4 ans, la culture du miscanthus est un investissement assuré à l’agriculteur pour plus de 20 ans.

Récolté à l’ensileuse, le miscanthus déjà broyé n’a pas besoin d’être transformé. La paille de miscanthus a un pouvoir calorifique de 4,2 kWh / kg, c’est-à-dire autant que le bois.

C’est une énergie chaleur de forte puissance, disponible à tout moment, qui présente un bilan neutre sur le plan des émissions en CO2 (cycle carbone neutre par la photosynthèse).

Une indépendance énergétique

L’approvisionnement en combustible étant dédié à chaque chaufferie et en circuit court, la collectivité bénéficie d’une garantie d’indépendance énergétique à long terme.

Les contrats d’approvisionnement se signent pour des durées 15 ans à 20 ans. Ils garantissent une certaine souveraineté énergétique et une stabilité des coûts de chauffage.